Le photographe Ángel Castillo Perona, dont l’œuvre “Impresiones y contrastes” est exposée dans la salle LAB de l’Ambassade d’Espagne, nous parle de ses relations avec l’Espagne et la Belgique.

Parlez-nous de vous et de votre travail.

Né à Madrid en 1975 de parents natifs de Castille-La Manche. Je vis à Bruxelles depuis 2006. Avocat de formation et photographe de profession. Créatif, sympathique, enthousiaste, impatient et perfectionniste. Amoureux de la nature, de ma famille et de mes amis, de la nourriture, du Japon, des cerisiers en fleurs, des vélos non électriques, de la peinture impressionniste, des couchers de soleil en Castille-La Manche, de la mer, de Madrid....

Mon travail de photographe au cours de ces deux dernières années est un hommage à la peinture impressionniste, en évolution constante, et dont les particularités sont la couleur, la lumière et la capture d'un instant précis de temps et de lieu. Tout cela sans avoir recours à la manipulation numérique.

Quelle est votre relation avec l'Espagne/la Belgique?

J'ai une relation très étroite avec les deux pays. Je vis et travaille en Belgique et je retourne fréquemment en Espagne.

Un endroit spécial en Belgique?

La Forêt de Soignes à Bruxelles, à 15 minutes à pied de chez moi.

Un endroit spécial en Espagne?

Des maisons à Haro (Cuenca), le village de ma mère.

Une chanson?

“Better together” de Jack Jackson.

Une œuvre d'art?

« Nuit étoilée sur le Rhône » de Van Gogh.

Un livre?

« Les soldats de Salamine » de Javier Cercas.

Un jalon scientifique?

La première photo d'un trou noir.

Sans cette technologie, je ne pourrais pas vivre....

Les trains. Tous les vendredis, ils m'emmènent voir mon amour à Londres.

Quand je me réveille, ma première pensée est...

C'est bon de pouvoir vivre un autre jour !