Ya no queda nada de todo esto

Cette œuvre du Teatro de La Abadía et du collectif Drift, présentée au festival Interphono, explore la relation entre l’espace privé et l’espace public, l’identité et le territoire dans les quartiers européens, cherchant à relier les gens dans un contexte de solitude.

Ya no queda nada de todo esto

• Création : Inés Collado et Irene Doher.
• Assistante à la mise en scène : Rosel Murillo Lechuga.
• Avec Inés Collado, Ángel Perabá, Ana Rodríguez et Paula Varela.
• Conseiller artistique : Carlos Tuñón.

Ya no queda nada de todo esto, pièce produite avec le Teatro de La Abadía de Madrid et le collectif Drift, est la contribution espagnole au festival Interphono, projet pluridisciplinaire qui part à la rencontre des habitants d’un quartier pour interroger l’habitat urbain, son environnement et les liens qui s’y tissent, est la contribution espagnole au festival. Trois équipes européennes ont travaillé en parallèle sur trois quartiers de leurs villes respectives : Saint-Gilles à Bruxelles, Gennevillers à Paris et Tetuán à Madrid.

La pièce explore les concepts d’espace privé et d’espace public, ainsi que la relation des gens avec ces deux notions. Elle aborde également les thèmes de l’identité et du territoire. Dans un contexte où l’Europe fait face à une nouvelle pandémie de solitude, l’objectif d’Interphono est de favoriser les échanges entre les individus. Comme un téléphone, ce projet sert de fenêtre pour accéder à l’espace intime d’une ville.

Les recherches de l’équipe artistique examinent l’appartenance des individus à leur environnement et la manière dont cet environnement influence notre perception de l’avenir.