Cinemamed 2020

Comme toujours, le Festival du Film Méditerranéen de Bruxelles -Cinemamed- propose une grande sélection de films espagnols.

Cette année, du 26 novembre au 5 décembre, le festival Cinemamed nous invite à profiter de sa 20e édition depuis chez nous. En raison des circonstances sanitaires, l’événement se déroulera virtuellement, mais nous fera découvrir le paysage méditerranéen à travers plusieurs productions artistiques pour continuer de profiter du cinéma.

Lors de cette édition, seront projetés : Avantages de voyager en train (2019), Inland (2019), Le mariage de Rosa (2020) y Loca (2020).

En plus des projections, les acteurs, les réalisateurs et les producteurs participeront, comme chaque année, à la présentation de leurs films et se feront une joie d’interagir avec le public.

Outre le septième art, les organisateurs du festival veulent faire découvrir au public la richesse des cultures du Sud, en faisant rayonner le multiculturalisme de Bruxelles et en démantelant les stéréotypes et les préjugés souvent associés aux cultures méditerranéennes.

Avantages de voyager en train

• De Aritz Moreno,Thriller, 2019, 102 minutes.
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Helga, rédactrice en chef pendant ces heures creuses, vient d’interner son mari dans un hôpital psychiatrique. Dans le train du retour, un étranger se présente comme Angel Sanagustin, un psychiatre qui travaille dans la même clinique et qui enquête sur les troubles de la personnalité à travers les écrits des patients. Pendant le voyage, Angel raconte à Helga l’histoire de Martin Urales d’Úbeda, un patient paranoïaque extrêmement dangereux, obsédé, entre autres, par les ordures.

Inland

• De Juan Palacios, 2019, 89 minutes.
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Quelque part dans le haut-plateau espagnol, un berger rêve de se rendre à Titicaca. Un duo de musiciens à la retraite se souvient de son âge d’or, deux filles cherchent des pokémons malchanceux et un grand-père compte les maisons vides de la ville pour s’endormir. Les personnages de ce film apparaissent comme des accidents géographiques d’un territoire dont la culture et le mode de vie semblent s’évanouir avec le temps.

Le mariage de Rosa

• De Icíar Bollaín, Comédie, 2020, 97 minutes.
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Sur le point d’avoir 45 ans, Rosa réalise qu’elle a toujours vécu pour les autres et décide de partir, de tout quitter et d’appuyer sur le bouton nucléaire. Elle veut prendre le contrôle de sa vie et réaliser son rêve d’avoir sa propre entreprise. Mais elle va bientôt découvrir que son père, ses frères et sa fille ont d’autres projets, et que changer sa vie n’est pas si facile si ce n’est pas écrit dans le scénario familial.

Loca

• De María Salgado Gispert, 2020, 15 minutes.
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Sofia travaille comme femme de ménage pour un ETT dans une école. Elle ne veut pas rentrer chez elle, sa fille ne vit plus avec elle. Ivan travaille comme professeur de patinage après l’école. Chaque mercredi à 16h45, il traverse le couloir de l’école avec ses patins. Sofia et Ivan se connaissent, mais ils ne se sont jamais parlé. Elle surveille ses cours en cachette. Il le sait. Sofia part toujours avant qu’Ivan ne termine son cours. Mais il pleut aujourd’hui et l’activité doit être annulée. Un jour ordinaire devient un moment extraordinaire.

La hija de un ladrón

• De Belén Funes, Drame, 2019, 1h 42m.
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Sara a été seule toute sa vie. Elle a 22 ans et un bébé. Son souhait est de former une famille avec son petit frère et le père de son enfant. Son père, Manuel, après des années d’absence et après être sorti de prison, décide de réapparaître dans leur vie. Sara sait qu’il est le principal obstacle dans ses projets et prend une décision difficile : l’éloigner d’elle et de son frère.